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Journée Internationale de la jeune fille : Uwezo Afrika se joint à toutes les jeunes filles pour célébrer leurs droits

En décembre 2011, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution fixant le 11 octobre comme journée de la jeune fille. Pour cette année le thème retenu est « Génération numérique, notre génération ».

Uwezo Afrika Initiative se joint à toutes les jeunes filles du monde entier pour célébrer cette journée, qui consiste à promouvoir les droits de la jeune fille, d’encourager ses initiatives de développement et de lutter contre toutes les violations de ses droits. C’est également une occasion de dénoncer toutes les discriminations dont elles sont victimes quotidiennement et qui constituent un frein pour leur émancipation et émergence.

Selon cette organisation de la société civile, cette journée interpelle tous les membres du gouvernement congolais, les responsables du secteur de l’éducation scolaire ainsi que les parents afin de garantir un accès équitable des filles à l’internet, aux appareils numériques en vue de leur offrir des opportunités d’accéder, de manière effective et en toute sécurité, aux nouvelles technologies, d’en faire usage  et ainsi jouer un rôle moteur et innovateur dans ce domaine.

Les filles rencontrent davantage d’obstacles économiques et sociaux pour accéder à l’internet et aux appareils numériques et ainsi faire entendre leurs voix, connaitre leurs droits particulièrement ceux liés à la santé sexuelle et reproductive.

Notons que la résolution 66/170 de l’Assemblée générale des Nations unies stipule que la Journée (des droits) de la fille reconnaît que l’autonomisation des filles, l’investissement dans leur éducation, sont essentiels pour la croissance économique, l’éradication de la pauvreté, ainsi que la participation significative des filles dans les décisions qui les concernent. Ce sont les clés pour briser le cycle de la discrimination et de la violence, pour promouvoir et protéger leur capacité à jouir pleinement de leurs droits.

Marie Thérèse CITO

 

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SUD-KIVU : Des femmes accusées de sorcellerie, Uwezo Afrika durcit le ton

Des cas d’accusation des femmes de sorcellerie continuent d’être signalés dans plusieurs coins de différents territoires de la province du Sud-Kivu.

Ces dernières sont régulièrement accusées par des jeunes du milieu, des membres de leurs familles ou des voisins, d’être à la base de la mort des personnes ou d’un événement malheureux. Un phénomène qui a pris de l’ampleur depuis un certain temps.

Au cours d’une interview accordée à Congowitness.org, l’organisation Uwezo afrika initiative, qui intervient notamment dans la défense des droits des femmes et des jeunes filles, condamne la recrudescence des tueries des femmes dans plusieurs territoires du Sud-Kivu, pour avoir été soupçonnées de sorcellerie.

Douce Namwezi, Directrice de cette structure féminine, déplore cette situation et rappelle que la loi congolaise ne reconnaît pas la sorcellerie comme une infraction.

Elle estime ensuite, que la vie humaine est sacrée et qu’il revient aux instances judiciaires de rendre justice et non aux citoyens eux-mêmes.

La coordinatrice de Uwezo Afrika recommande aux autorités, principalement l’appareil judiciaire congolais, de se saisir de cette situation devenue récurrente dans plusieurs territoires du Sud Kivu.

Avec congowitness.org

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Nord-Kivu : « UWEZO AFRIKA INITIATIVE » organise une journée de réflexion sur le requiem pour la paix à Goma

Une journée de réflexion sur le Requiem pour la paix a été organisée ce Mercredi 15 Septembre 2021 dans la grande salle de Plazza Hôtel à Goma au Nord-Kivu sous l’initiative de l’organisation « UWEZO AFRIKA INITIATIVE. »

Ceci entre dans le cadre de célébrer ou commémorer les morts de différents conflits, guerres et tueries connus dans l’Est de la RDC, se rappeler de ceux qui nous ont quittés dans ces différents contextes.

Selon Me Placide NTOLE, vice-président du Conseil d’Administration de « UWEZO AFRIKA INITIATIVE », l’objectif du requiem pour la paix est d’amener le peuple à ne pas oublier l’histoire et que les congolais soient en mesure de raconter leur propre histoire à travers les vérités qu’ils doivent se dire sur ce qui s’est réellement passé afin que plus jamais cela ne se répète.

« Nous, les africains nous savons que les morts ne sont jamais morts, juste ils changent la façon d’être et de vivre avec nous. Et nous ne devons pas les oublier. Dans le cas contraire ça revient à dire que nous voulons que les choses se répètent, » a martelé Me Placide NTOLE.

Dans cette assise qui a connu la participation des élus (representants du peuple) au niveau provincial, les membres des organisations des femmes et des jeunes, ceux de la société civile, des leaders locaux, les journalistes, il était question de réfléchir par rapport aux devoirs des mémoires, d’justice et d’histoire, compte tenu de tout ce qui s’est passé généralement en RDC et plus particulièrement dans l’Est du pays concernant les différents massacres, guerres et tueries au cours desquels la RDC a perdu ses dignes filles et fils.

Pour Me Placide NTOLE, par devoirs des mémoires, des séries d’activités doivent être organisées pour se rappeler de toutes les âmes qui nous ont quittées.

Signalons que cette journée de réflexion était une accasion pour les participants de statuer sur les causes , conséquences de ces attrocités et les stratégies pour y remédier.

Avec lesvolcansnews.net

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Sud Kivu: ‘’Requiem pour la paix’’ uwezo Afrika preche le devoir de mémoire et de justice

Des témoignages sur les atrocités commises lors de différentes guerres ont été rendus ce mercredi à Bukavu dans le cadre du ‘’requiem pour la paix’’ organiser par uwezo Africa.

Parmi les objectifs poursuivi ‘‘identifier les stratégies, les instruments pour matérialiser le devoir de mémoire et de justice’’

ce requiem pour la paix a réuni  plusieurs couches de la population dans le respect de mesures barrières allant  de leaders locaux, religieux, organisation des femmes, jeunes, chacun a son niveau a  témoigné sur  le moment vécue dans les atrocités, les tueries  les violences et la guerre que connaît depuis plus de deux décennie  la partie est de le RDC en général et la province du Sud Kivu en particulier.

La directrice de uwezo Africa pense que ce témoignage ont permis au participant de comprendre la nécessité du devoir de mémoire

»   Au fait un volet de plaidoyer par rapport au devoir de mémoire suite aux atrocités que le pays a connu pour que l’histoire soit écrite et soit dite aussi par le congolais et les congolaises eux-mêmes, c’est également une initiative artistique par rapport à son volet de chants car le Requiem c’est vraiment un deuil pour chanter pour le repos des âmes disparus et en Octobre bientôt il aura ce volet culturel. Aujhourd’hui on est dans ce devoir de mémoire pour parler, raconter et apprendre notre histoire   «

Uwezo Africa à travers ce feu entouré  des plusieurs personnalité a tenue   a informer le public sur le bien-fondé de l’événement du requiem pour la paix, d’améliorer la compréhension des participants sur ce qui est le devoir de mémoire et le devoir de la justice, afin que les participants puissent aussi identifies différents stratégies et instruments de devoir de mémoire et de justice.

Après la ville de Bukavu le programme autour du feu dans sa deuxième édition va organiser de soirée de témoignage à kaniola, Bukavu Goma et Kinshasa.

Avec kivuamani.info

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Sud-Kivu:«Requiem pour la paix» une occasion pour Uwezo Afrika de saluer la mémoire des victimes des violences

L’Organisation «Uwezo Afrika Initiative » vient d’organiser ce Mercredi 9 Septembre2021,la une deuxième édition du «Requiem pour la Paix »au cercle sportif de Labotte à Bukavu.

La motivation est de travailler sur le devoir de mémoire en vue de faire connaitre au citoyen du Sud-Kivu son histoire dont les tueries et massacres qu’a connu le pays dans le passé.

Lors de ce «Requiem pour la Paix»,différents acteurs engagés dans la recherche de la justice en faveur des victimes des atrocités connues au pays et particulièrement en province du Sud-Kivu se sont réunis autour du feu pour revenir sur cette histoire tragique.

Un point de départ pour inviter les acteurs sociaux et politiques à poser d’autres pas pour construire une paix durable et permettre à offrir aux victimes une justice équitable afin d’obtenir réparation.

Pour madame,Douce Namwezi coordinatrice de l’organisation Uwezo Africa,le devoir de vérité, le devoir de mémoire, et le devoir de justice sont des préalables à la réconciliation dans la recherche de la paix en RDC.

Le tout s’inscrit dans une perspective de paix, cohabitation pacifique, réconciliation entre les Pays en conflit.

Occasion pour madame Douce Namwezi d’ajouter qu’on ne peut pas avoir la prétention que l’on peut tout changer à travers ces genres d’activités mais plutôt espérer que la prise de conscience de l’histoire et une attitude préventive pour que ces atrocités ne se passe plus.

En somme, la finalité du requiem de la Paix passera par une justice transitionnelle qui serait un couronnement de cette lutte.

Avec rtnk.org

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Sud-Kivu : devoir de mémoire des victimes des tueries en province, Uwezo Afrika met autour du feu plusieurs couches de la population

Réunir des personnes issues de différentes couches de la population de la ville de Bukavu en particulier et de la province du Sud-Kivu en général, en vue de partager les souvenirs des survivant(e)s de différentes guerres à répétition et tueries vécues en province, tel est l’objectif principal du devoir de mémoire organisé par Uwezo Afrika ce mercredi 8 Septembre.

Pour Douce Namwezi, organisatrice de cette activité et directrice de Uwezo Afrika, ce requiem de la paix a été envisagé dans le seul but d’échanger sur différentes expériences vécues par certains intervenants durant plusieurs conflits qui ont coûté la vie à des milliers des personnes. Ce qui pourra servir d’acte symbolique de l’histoire, de recueillement et de deuil pour les congolais(e)s qui ont vécu et vivent encore tant des morts.

<< Nous avons vraiment l’obligation en tant que citoyenne et citoyen de connaître notre histoire et de la raconter nous-même et pas forcement par les autres. Et c’est difficile de raconter notre histoire si notre mémoire est amnésique ou même on ne la maîtrise pas. Et l’histoire dont il est question malheureusement c’est une histoire triste. Une histoire de tueries, des massacres et des guerres. Et la perspective est vraiment une perspective de paix, de cohabitation pacifique et de réconciliation entre les pays. Depuis un temps, on parle de justice, même de justice transitionnelle, de réparation. C’est difficile si la personne concernée ne comprend pas ou ne se rappelle plus ce qui lui est arrivé. On est une jeune génération actuellement et on est un pont entre les générations futures et les générations passées. Qui ont été au front, qui ont été actrices de ces atrocités, et nous voulons au fait que nous puissions connaître ce qui s’est passé réellement>>, a-t-elle déclaré.

Elle poursuit en faisant remarquer la consternation liée à l’ignorance d’un peuple de sa propre histoire lorsqu’il y a absence de la quintessence au niveau oral; par écrit également à travers des livres, des articles ainsi que la révision même du curriculum scolaire appris à l’école. D’où les faits doivent être exposés pour essayer de vivre en paix, parce qu’à ce point on aura guérit de l’intérieur en revenant dans le passé.

<< En tout cas nous venons de faire une première expérience à Kanyola, dans le territoire de Walungu. C’est un groupement qui a connu beaucoup d’atrocités entre 2007 et 2008. Pour la première fois tu trouve des victimes qui disent que c’est pour la première fois que j’en parle et je me sens bien. Et peut-être le psychologue en parlerait mieux comme une approche thérapeutique. On ne sait pas, nous nous avons juste voulu lui donner cet espace d’échange et d’ouverture pour que chaque personne en parle. En parler également c’est accepter que les faits se sont passés. Et que la victime et même les bourreaux, même les auteurs eux-mêmes reconnaissent ce qui s’est passés.On a vu récemment, ce n’est qu’après autant d’années une vingtaine que, la France reconnait son implication dans le génocide rwandais. Ce n’est pas à dire qu’un autre génocide va encore se produire ou que les rwandais vont encore s’entretuer. C’est juste une exigence d’histoire, et c’est ça la démarche dans laquelle nous sommes>>, ajoute Douce Namwezi.

Cette défenseure des droits humains précise que cette initiative prêche l’exigence de mémoire. De laquelle, il y a beaucoup de paramètre qui entrent en cause afin que la victime soit en paix avec elle-même. Ce qui implique effectivement le fait d’en parler pour se libérer, se detraumatiser et voir plus en terme de réparation. Que l’on reconnaisse qu’il y a eu des tueries , qu’il y ait des mausolées. Juste en terme de reconnaissance pour que l’on admette qu’il s’agissait bien des personnes qui ont été tuées et non pas des animaux qu’on a juste égorgé et c’est fini.

Elle conclut en disant que, loin de tout aperçu prétentieux, ce genre d’activités ne sont pas envisagées pour changer toute la situation. Cependant, dans l’optique de déboucher à la prise de conscience de l’histoire. Avec une attitude beaucoup plus préventive pour que les atrocités ne se reprennent plus jamais. Puisque les gens auront une attitude beaucoup plus positive vers la paix, la réconciliation et vers la paix.

Signalons que cette activité s’est tenu au Cercle sportive de Labotte en commune d’Ibanda, ce mercredi 8 Septembre 2021, ayant réuni plus de 70 personnes issues de différentes couches de la population entre autres les leaders locaux, religieux, des enseignants, des étudiants, des organisations des jeunes et des femmes, des organisations de droits de l’homme ainsi que des victimes directes des massacres et tueries.

Avec jambordc.info

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Bukavu/Requiem pour la paix: Uwezo Afrika insiste sur le devoir de mémoire «nous devons connaître notre histoire pour savoir réclamer la réparation»

L’organisation Uwezo Afrika Initiative a organisé ce mercredi 8 septembre un « Requiem pour la Paix » pour commémorer et honorer les morts et les victimes des différentes guerres et conflits qu’a connu l’Est de la République démocratique du Congo depuis 1996.

Il s’agit également d’un devoir de mémoire par rapport à toutes les tueries et massacres qu’a connus le pays, et faire ainsi à ce que les personnes mortes ne soient pas oubliées, et «que les circonstances de leur mort tragique» soient connues de générations en générations.

Pour la directrice de Uwezo Afrika Initiative, Douce Namwezi il est difficile de parler justice en faveur des victimes des atrocités qu’a connues la RDC en général et la région de l’Est en particulier, sans que ses propres enfants ne connaissent ce qui s’est réellement passé. D’où sa détermination à travailler sur le devoir de mémoire afin de permettre à la jeune génération de comprendre l’histoire du passé pour espérer vivre la paix dans le futur.

«La motivation c’est de travailler sur ce devoir de mémoire. On a l’obligation en tant que citoyennes et citoyens de ce pays de connaître notre histoire, la raconter nous-même et ne pas attendre que cela soit fait par une autre personne. Il est alors difficile de raconter notre histoire si nos mémoires sont amnésiques, si nous même nous ne la maîtrisons pas. Ici l’histoire dont il est question c’est une histoire des guerres, des tueries et des massacres. La perspective que nous avons, c’est une perspective de paix, de cohabitation et réconciliation entre pays. Depuis un temps, on parle de justice transitionnelle et de répartition, mais c’est difficile si la personne elle-même concernée ne comprend pas ce qui lui est arrivé. On est une jeune génération actuellement, qui constitue un pont entre les générations passées et la future génération. Donc nous voulons comprendre ce qui s’est passé réellement,» fait savoir la directrice de Uwezo Afrika Initiave.

Elle a par contre indiqué que le devoir de mémoire ne vise pas à remuer le couteau dans la plaie, mais plutôt permettre aux jeunes générations à comprendre ce qui s’est passé et savoir réclamer réparation.

Douce Namwezi a par la suite salué les efforts des toutes les personnes qui portent la lutte de la justice transitionnelle, et qui militent pour qu’un jour les victimes des toutes les atrocités qu’a connu la région trouvent réparation.

«Cette initiative est portée par beaucoup d’acteurs. On n’est pas seul, car il y a les intervenants qui font des monitorings des fausses communes qui sont dans la ville de Bukavu. On le répertorie, car aujourd’hui il y a une génération qui ne sait pas qu’à l’ISP on a une fausse commune, à Nguba, à ELAKAT et dans d’autres lieux. Pour nous cette histoire de mémoire va faire en sorte que les gens comprennent ce qui s’est passé. Il y a aussi d’autres acteurs comme le docteur Denis Mukwege, qui est ténor de cette justice traditionnelle et qui pour lui continue à soutenir l’instauration d’un tribunal pénal international pour le Congo. Car notre justice est incapable face à certains auteurs qui soit sont des groupes armés étrangers qui ont opérés sur le sol congolais et notre pays à une économie faible d’agir en terme de réparation. Pour nous, une justice transitionnelle serait la plus importante de cette lutte. Où ces personnes au-delà de cette histoire vivent en paix,» a-t-elle insisté.

Notons qu’au cours de ce « Requiem pour la Paix » organisé par Uwezo Afrika Initiative, des témoignages des personnes qui ont survécu à certaines guerres à l’Est de la RDC ont été présentés, à l’intention de plusieurs dizaines de personnes venues pour la circonstance.

Avec laprunellerdc.info

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Bukavu : La deuxième Edition de requiem pour la paix annoncée via autour du feu

L’histoire de la guerre à l’Est de la RDC est le thème qui caractérisera la deuxième Edition de requiem pour la paix organisé par Uwezo Afrika Intiative qui sera lancée au mois d’octobre 2021 prochain.

Le début de cette activité basée sur les témoignages et musiques en faveur des mémoires des martyrs, a été annoncé officiellement lors de l’hebdomadaire autour du feu du mercredi 8 septembre 2021 dans les enceintes du cercle sportif de labotte dans la commune d’Ibanda dans la ville de Bukavu.

‘’Nous sommes ici pour le devoir de mémoire qui consiste à raconter l’histoire des atrocités qu’a connu la République Démocratique du Congo surtout à sa partie l’Est, pour qu’elle soit dite et connue par tous. Ce n’est pas pour réouvrir la plaie, mais pour que tous les Congolais sachent ce qui s’est réellement passer afin de prendre conscience pour que ça n’arrive plus. Et deuxièmement c’est celui des chants pour la Paix et les repos des âmes des personnes disparues. Les activités vont débuter en octobre 2021. » a dit madame Douce Namwezi directrice d’Uwezo Afrika Initiative justifiant l’objectif du projet.

Des témoignages tiquant des certains notables de la ville autour de massacre et évènement chronologique des guerres d’occupations ont été narré à quelques habitants de Bukavu qui ont rehaussé de leur présence à la rencontre.

SHAKULWE Konda conservateur culturel de la tradition de Bashi est revenu sur les assassinats dispersés dans la ville  par les rebelles de l’AFDL  et d’autres complétant ainsi  d’autres orateurs en rappelant la mort du feu archevêque de Bukavu  et martyrs de l’église Christoph MUNZIHIRWA MWENE NGABO pour ses bravoures et la suite des morts dont leurs os raisonnent encore dans les fosses communes localisées  ci et là dans la ville.

M’Bachou Bahati Nyenyezi Marie Jeanne, psychologue à la fondation Panzi et acteur de la société civile du Sud-Kivu a signifié qu’elle est témoin vivant de témoignage presque toute les guerres depuis l’époque Mobutu avant de conclure que la plus atroce est celle dite de libération qui a emporté des têtes importante pour le pays.

Egide KITUMAINI journaliste professionnel, Bâtonnier LWANGO professuer d’université, Elie HABIBU politologue…ont également enrichit les idées sur les 2 décennies de guerre qu’a connu la république démocratique du Congo grâce à ses richesses de son sous – sol.

La première édition de requiem pour la paix a été tenue en 2019 et avait connu la participation du prix Nobel, Docteur Dénis Mukwege et du Mgr François Xavier MAROY et qui continuent de soutenir cette action pour cette année 2021.

cette activité du jour a été organisé avec le concours du centre culturel ECKA .

Avec bkinfos.net