BUKAVU/ JI DES DROITS DE L’ENFANT AFRICAIN : LE CPHPGD IVITE LA COMMUNAUTE ACCOMPAGNER LES TALENTS DES ENFANTS DE LA RUE POUR LEUR EPANOUISSEMENT

ByRolande CINAMA

BUKAVU/ JI DES DROITS DE L’ENFANT AFRICAIN : LE CPHPGD IVITE LA COMMUNAUTE ACCOMPAGNER LES TALENTS DES ENFANTS DE LA RUE POUR LEUR EPANOUISSEMENT

 

« L’enfant de la rue, une banque des talents cachés qui nécessite un accompagnement pour la promotion de l’art local ». Propos du coordonnateur provincial du « club de paix héritier du père GEORGES DEFOUR» CPHPGD en sigle, Justin BYAMUNGU lors d’une conférence tenue le samedi 17 juin de l’année en cours, à l’ occasion de la journée mondiale des droits de l’enfant africain célébré sous le thème « je réclame mes droits ».

Selon lui, après une période d’encadrement de quelques enfants  de la rue, son club à découvert que la plupart d’entre eux ont du talent dans différents domaines artistiques qui nécessitent un accompagnement pour contribuer à leur épanouissement.

Notre source pense que la promotion de  ces dernies aurait un impact positif sur le taux de la délinquance juvénile et le développement du secteur artistique en province.

Etant dans l’impossibilité d’aider ces enfants sur certains aspects, le club de paix, héritier du père GEORGES DEFOUR demande aux autorités provinciales, aux opérateurs culturels ainsi qu’aux personnes de bonne volonté de soutenir ces talents afin d’épargner ces jeunes congolais de la vie de misère à laquelle ils sont exposés, a renchérit JUSTIN BYAMUNGU.

« Nous avons profité de cette occasion de la journée international des droits de l’enfant africain pour hausser nos voix en faveurs des enfants qui passent leurs vie dans des rues et les avions sensibilisé également sur la façon de revendiquer leurs droits et répondre à leurs devoirs à travers l’art.

Nous avons pensé tout d’abord approcher certains enfants de la rue pour découvrir les talents qu’incarnent certains d’entre eux pour en suite les apprendre des métiers surtout dans le domaine artistique avant de les réintégrer dans leurs familles respectives. Nous savons tous qu’un enfant qui a appris la coiffure, la coupe et couture mixte, le bricolage et autres travaux manuels peut être utile à la communauté.

Sur ce, nous demandons aux communautés de les accompagner pour contribuer à leurs promotion et celle de l’art local » a-t-il dit

Cette conférence qui s’est suivi par une manifestation culturelle visant à véhiculer le message de paix  à travers l’art, a réunis les enfants venants des différents orphelinats de la place, les éducateurs, des défenseurs des droits des enfants, des artistes et plusieurs autres personnes.

Cette dernière s’est tenu dans les enceintes du centre BANDARI non loin de l’institut supérieur de développement rural ISDR/BUKAVU en commune de .

 

GISELE BASHWIRA

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