Category Archive Culture

ByRolande CINAMA

BUKAVU : 15 PROFESSIONNELLES DES MEDIAS SENSIBILISE PAR LA RADIO OKAPI POUR FAIRE FACE A LA DESINFORMATION ET DISCOURS DE HAINE

La radio okapi de Bukavu vient d’outiller quinze journalistes de radios communautaires de la place  sur les stratégies adoptés pour lutter contre la propagation des fausses informations et discours de haines. C’était lors d’un atelier tenu au quartier général de la MONUSCO le mardi 19 mars 2O24.

Pour l’un des facilitateurs du jour, madame MIREILLE MOLEKA, cette activité est inscrite dans  la première étape des activités de sensibilisation prévu par la radio OKAPI par rapport à cette question.

Elle renseigne que ces assises organisés à l’intention des professionnels de médias vise à limiter la propagation des infos afin de combattre toutes violences pouvant en découler et prôner la cohabitation pacifique entre membres des différentes communautés.

« En tant que sensibilisateurs sur les questions de discours de haine de désinformation, nous avons trouvé la nécessité de réunir des journalistes de radios communautaires pour les faire comprendre les dangers auxquels sont exposés les membres des communautés suite à la propagation des messages d’incitation à la haine et désinformation. Nous les avons montré leur importance dans cette lutte à travers leurs plumes, micro et caméras, et cela dans le respect de certaines règles et stratégies afin contribuer à la paix social » a-t-elle dit

A leur tour, les participants disent être satisfaits de la matière apprise car cette dernière les a révélé leur rôle qui est d’une grande importance dans la cohabitation pacifique intercommunautaires. Ils s’engagent à fournir des informations claires et vérifiées pour semer un climat d’entente dans le chef de la population.

« Nous avons compris notre importance dans la société qui permet à la population d’avoir des éclaircissement sur certaines informations pouvant inciter à la haine. Nous tacherons les sensibiliser pour ne pas être emportés par tout rimeur sans savoir son origine et l’intention de son auteur » explique certains d’entre eux.

Pour les étapes suivantes, Cette formation réunira d’autres journalistes de radios communautaires de la ville de Bukavu et des différents territoires de la province du sud Kivu.

Gisèle BASHWIRA.

 

ByThèrese

Sud-Kivu : L’artiste musicien Freed MUSHAGA à la conquête de l’Afrique de l’Est

L’artiste musicien originaire de la ville de Bukavu dans la province du sud Kivu Freed Mushaga a entamé une mini-tournée régionale en Afrique de l’Est depuis fin février 2024 dans deux pays de la région, à savoir : le Rwanda et l’Ouganda. Cette mini-tournée s’est ouverte sur une prestation musicale très ovationnée au prestigieux SOFAR SOUNDS dans la ville de Kigali, capitale du Rwanda, le 24 février 2024.

Questionné à ce propos, Fred se confie : « Cet énième déplacement s’inscrit dans le cadre de ma série des mini-tournées dans la région, tout en projetant de garder active ma présence sur scène et de me mettre en réseau ; c’est surtout pour paver le chemin de mes projets en cours ou à révéler dans un futur proche. »   

Le surnommé ‘Petit-Fils à Momo’ n’a pas hésité à collecter une audience de plus par ses magies musicales imprévisibles ; mais à l’en croire, il ne voulait pas que des acclamations : « La cause sociale est la force motrice de ma musique, sans elle, toutes mes créations ne font qu’un bruit; j’aime m’aligner avec l’humanité et les causes, les bonnes causes, qui le tiennent à cœur. La très interpellatrice Black History Month en est une occasion de ressasser, d’apprendre et d’évoluer : voilà le tableau que j’ai peint dans cette soirée aux côtés d’autres musiciens reconnus comme Mike KAYIHURA ou encore Mama Swatara, » dit Freed.

Le Sofar Sounds Kigali lui-même ne manque pas de joindre les siennes aux nombreuses félicitations. Sur son Instagram, on peut bien lire : « Nous étions ravis d’accueillir le talentueux @Freedmushaga. » Originaire de l’est de la RDC (Bukavu), Freed mélange la Soul/Pop africaine avec des influences jazz, créant une fusion unique. Influencée par des légendes comme Ella Fitzgerald et des icônes africaines comme Youssou N’Dour, sa musique porte des messages de paix et d’amour. Sa performance nous a fait voyager dans le chant et la danse ».

FREED ne s’est pas arrêté au Rwanda. Il est actuellement à Kampala pour la suite de ses projets musicaux en cours depuis tôt 2023 et impliquant plusieurs acteurs du monde de la musique. Tout en se produisant en studio, à Kampala, l’artiste ne manque pas sur un des plus alléchants lineups d’activités musicales en capitale ougandaise, tout comme en 2023 où il s’est produit en concert au SAFARI BAR et à l’Alliance française. Ce 9 mars 2024, il se produit comme invité spécial à la soirée culturelle KALABASH organisée à Wild Coffee par le collectif East African Records dont il fait partie.

Dans l’entretemps, Freed annonce timidement déjà la sortie de son tout premier clip vidéo COME NOW et d’une collaboration internationale titrée SAFARI et bien plus que ça, une suite toute autre pour sa carrière d’artiste musicien contemporain.

La mini-tournée de Freed Mushaga en Afrique de l’Est confirme son talent exceptionnel et son engagement profond. Son aura et sa musique promettent de rayonner encore plus loin, inspirant et rassemblant les peuples à travers le continent.

ByThèrese

Culture : la politique culturelle nationale, une nécessite pour les artistes de la RDC

Le ministère provincial de la culture et arts a tenu la deuxième édition du forum culturel provincial le mercredi 7 mars 2024 à l’Institut français de Bukavu, en province du Sud-Kivu. Il a réuni des artistes, opérateurs culturels et acteurs culturels étatiques autour des thématiques telles que : l’évolution du contexte culturel local, le rôle de l’art dans la promotion des droits humains et la promotion du genre, l’art comme moyen d’acceptation ou de contestation du pouvoir et l’art comme outil de sensibilisation aux enjeux sociaux.

Ce forum provincial a permis aux artistes de passer en revue l’évolution du secteur culturel dans la province du Sud-Kivu. Il s’est dégagé que ce secteur connait plusieurs défis, entre autres : le manque de producteurs, le non-accompagnement des services publics pour la protection et la promotion des œuvres, l’insuffisance des espaces culturels, le non-respect des droits d’auteur et le piratage des œuvres artistiques, les problèmes d’ordre institutionnel, administratif et financier.

Les participants ont recommandé la mise en place de la politique culturelle nationale en République démocratique du Congo. Selon M. Espoir BULANGALIRE, humoriste et un des modérateurs du forum, cette politique doit définir les principes qui doivent régir les politiques culturelles, notamment : la protection des identités culturelles, l’égalité des différentes formes d’expression de chaque peuple, définir le rôle de l’État, humaniser le développement afin de permettre à chaque individu et à chaque peuple d’avoir la possibilité de s’informer, d’apprendre et de communiquer son expérience culturelle.

Soutenant que la culture constitue une dimension fondamentale du processus de développement et contribue à renforcer l’indépendance, la souveraineté et l’identité des nations, M. Espoir BULANGALIRE a souligné que l’État congolais doit créer des conditions sociales, culturelles propres à faciliter, stimuler et garantir la création artistique et intellectuelle, sans aucune discrimination de caractère politique, idéologique, économique et social.

La politique culturelle nationale doit, selon les artistes, élaborer des programmes spécifiques à éveiller la sensibilité artistique et à aider les groupes ou institutions de création et de diffusion, mais aussi la promotion des activités de nature à sensibiliser l’opinion publique à l’importance sociale de l’art et de la création intellectuelle.

Aboubakar KIGABI

ByThèrese

BUKAVU : L’ALBUM « UBUNTU » DE L’ARTISTE ACHILLE ARGUS, UN VEHICULE DES VALEURS AFRICAINES

« Je suis ce que je suis à cause des autres », telle est la traduction de « Ubuntu », l’album de l’artiste musicien Achille Argus qui sera officiellement lancé ce 29 février. Il l’a dit lors d’une interview accordée à la chaine culturelle Uwezo Médias.

Selon Achille Argus, le vécu quotidien est l’inspiration composant les quatorze titres de l’album Ubuntu. Soucieux de vivre ensemble, Achille apporte une nouvelle touche à la musique grâce aux thèmes évoqués tels que l’argent, la fraternité, l’éducation sexuelle, pour ne citer que ceux-là.

Ubuntu est un appel à la solidarité et au renforcement des valeurs africaines. Dans le slam, on est habitué à avoir une scène, un Mike et juste des mots. Aujourd’hui, nous voulons ajouter une authenticité musicale hors norme et apporter des innovations dans le slam poetry, a précisé Achille avant de poursuivre :

La conception a toujours été, je suis ce que je suis, miroir des autres. Je suis la moyenne des gens qui m’entourent et ceux qui m’aident à me réaliser, c’est alors que je parle d’humanité et de fraternité africaine dans Ubuntu.

Auteur de nombreuses compositions, notamment Bugali et travaillez, Achille Argus affirme être prêt pour son premier one man show qui sera l’exposition d’un résultat de l’album préparé deux ans durant. Fruit d’une certaine concentration, l’Unité de Mesure de l’Artiste associe sept autres figurant dans l’album Ubuntu.

L’idée est de présenter aux gens en live ce que nous faisons tout en sollicitant leur accompagnement. Tout commence là, avec une entrée libre au spectacle. Venez quand même avec quelque chose en poche. Ne venez pas main vide, car l’artiste doit vivre de son métier, a laissé entendre Achille Argus.

À préciser que la présentation du cahier des vers harmonieux « Ubuntu » s’inscrit dans le cadre de la rencontre chorégraphique de grands lacs qui se soldera par une tournée culturelle, a ajouté Achille Argus. Il a signalé que les disques en précommande sont obtenus moyennant une somme de dix dollars minimums. Il invite les mélomanes de la musique à un moment d’échanges de vers sous une mélodie ressassant la solidarité africaine.

L’institut français de Bukavu est l’endroit qui accueillera le lancement officiel de l’album « Ubuntu » le 29 février 2024 dès 17 heures précises.

Kathia AMINA

 

ByThèrese

SUD KIVU : 30 ARTISTES DE LA COMPAGNIE DES ARTS AFRICAINS POUR LA CULTURE CAPACITÉS SUR LE JEU DE TAMBOURS ET LA DANSE TRADITIONNELLE.

La Compagnie des arts africains pour la culture (CAAC) en sigle forme des artistes danseurs et tambourinaires de la musique traditionnelle à travers un atelier de capacitation dénommé « pas de culture, pas d’identité ». Ceci dans le but d’immortaliser des cultures africaines, tout en contribuant à l’amélioration des performances de jeunes talents œuvrant dans ce secteur artistique.

Cette confirmation est du responsable de cette compagnie, Roger BYAKITILE, qui, lors d’une interview exclusive avec la chaine culturelle, a précisé que cette activité vise également la promotion de cette catégorie d’artistes qui semble être ignorée par certains membres de la communauté.

« Nous apprenons aux artistes la manière de jouer au tambour dans le style MBUNDA qui est le symbole de notre culture africaine ». Nous leur montrons comment associer ces jeux aux danses traditionnelles et aux théâtres pour les rendre compétitifs sur le marché de l’art traditionnel. Après la formation, nous allons organiser une tournée d’exposition des talents des bénéficiaires à différentes places publiques de la ville de Bukavu pour compatir avec la population de l’est de la RDC qui demeure victime des multiples atrocités. » Ajoute Roger BYAITILE.

Rencontrés à leur lieu de formation, certains participants disent que cet atelier est une grande opportunité en vue d’améliorer la qualité de leur noble métier qui vise à véhiculer le message de paix à travers l’art.

« Nous remercions la compagnie CAAC d’avoir songé à renforcer nos capacités pour nous rendre compétitifs dans l’industrie culturelle ». La matière que nous bénéficions nous permettra de nous distinguer partout où nous irons représenter la ville de Bukavu, la province du Sud-Kivu et/ou la République démocratique du Congo. Elle nous aidera également à mieux jouer notre rôle d’immortaliser les cultures africaines et de promouvoir la cohabitation pacifique intercommunautaire à travers l’art. » Affirmant-ils

L’un des facilitateurs de cet atelier, Ernest KIBUNDILA, insiste sur un accompagnement sans relâche des jeunes talents pour la progression de la musique traditionnelle.

La formation « Pas de culture, pas d’identité » se tient à l’espace culturel Kwetu Art en commune de Bagira du 12 au 24 février 2024. À la fin de cette dernière, chaque participant recevra un brevet de participation, précise notre source.

Gisèle BASHWIRA

ByThèrese

Bukavu : Le CERDHO présente l’objet de son étude sur le cadre juridique de la culture en RDC.

Le Centre de recherche régional en droits de l’homme et en droit international CERDHO de l’université catholique de Bukavu (UCB en sigle) vient de présenter le projet de recherche sur la culture. C’était au cours d’un atelier qui a réuni les responsables des différentes structures culturelles à Bukavu en date du 10 février 2024. Le professeur Trésor MASHESHE, responsable de ce projet, note que ces acises ont permis de passer en revue les textes juridiques congolais légiférés sur la culture. Il s’agit, selon lui, de comprendre comment la culture peut être considérée comme un pilier de développement.

« Il se dégage de notre constat qu’en RDC, il existe une multiplicité des textes régissant le secteur culturel. » Ces textes de lois mal ordonnés dans l’arsenal juridique congolais constituent parfois un blocage pour le développement de ce secteur. Dans notre étude, nous allons répertorier et analyser ces différentes lois qui menacent sérieusement l’environnement des artistes locaux. Outre ces différentes lois, il y a la présence de plusieurs institutions qui interviennent dans le secteur culturel poussant des artistes et des acteurs culturels à abandonner leurs différentes initiatives, affirme-t-il.

En termes de perspectives à l’avenir, le professeur de trésor MAHESHE pense qu’une réforme législative est envisageable. Il affirme son appui au projet de réforme législatif entamé il y a de cela deux ans au sein du ministère de la culture pour assainir le secteur culturel en RDC.

Partenaire au projet d’étude mené par CERDHO, Douce NAMWEZI, coordonnatrice de Uwezo Afrika Initiative, souligne que le secteur culturel est à ce jour moins reluisant.

« Le manque d’une structuration, l’envahissement de ce domaine par les néophytes et le flou juridique entretenu par les lois rendent ce dernier peu productif ». L’idée est qu’à la fin, ce projet apporte des clarifications et que des recommandations soient formulées sur la composition du secteur culturel.

À noter que cette activité avait pour thème : « Cadre juridique de la culture : frein ou développement en RDC ? », un projet de recherche exécuté par le Centre régional en droits de l’homme et en droit international humanitaire CERDHO de l’université catholique de Bukavu (UCB) en partenariat avec Uwezo Afrika initiative dans le cadre d’appui au secteur culturel (PAC) financé par la coopération suisse.

Christian BUZANGU

ByThèrese

Bukavu : le concours Mon premier Montreux by Castel Beer recherche la prochaine pépite de l’humour africain.

Une vingtaine d’humoristes de Bukavu viennent de participer à la quatrième édition du casting d’humour d’Afrique francophone, Mon premier Montreux by Castel. Cet évènement de détection des talents a eu lieu en date du 10 février 2024 à l’espace culturel Kwetu Art, en commune de Bagira. Devant le public de Bukavu, ces humoristes venus des trois communes ont chacun présenté son spectacle.

Grégoire FURRER production, organisateur de Montreux Comedy, indique que l’objectif est d’unir et de promouvoir les jeunes talents du continent africain et précise qu’au total, neuf pays accueillent cet évènement, dont le Togo, Benin, Burkina-Faso, Cameroun, République démocratique du Congo, Côte d’Ivoire, la Guinée Conakry, la République du Congo et le Gabon.

« Ma plus grande envie avec ce casting, c’est de découvrir les talents panafricains de demain et de les faire connaitre à l’international ». N’ayez pas peur de rêver, car la réussite n’est pas loin ! A-t-il renchérit. En tant que sponsor officiel de Mon premier Montreux Afrique Castel Beer, réaffirmons notre engagement en faveur de la culture et de l’art africain. Aujourd’hui, la marque célèbre les valeurs positives de l’Afrique telles que l’ambition, l’effort, le talent et la réussite. »

Joyeux BIN KABODJO, directeur de l’espace culturel Kwetu Art qui accueillit ce concours à Bukavu, souligne qu’au vu des talents découverts sur scène, il y a de quoi espérer à l’avenir. Il estime qu’il est temps que l’humour de Bukavu agonisant fasse un sursaut et que le Kivu donne une autre image en dehors du pays.

« On peut espérer à la représentation de la RDC au niveau international à travers les talents des humoristes que nous venons de découvrir ». Il est temps que le Kivu soit découvert au travers de l’image du rire et non comme des provinces meurtries par la guerre. Cette année, je souhaite que ça soit un Bukavien qui aille porter le drapeau de l’humour congolais à l’international. »

Précisons que les vingt candidats sélectionnés vont devoir présenter en demi-finales à Abidjan en live lors de deux soirées, puis interviendra l’étape de la grande finale où ces derniers bénéficieront d’un master class à Kribi au Cameroun et de coachings avec trois intervenants internationaux d’humour francophone. Restez connectés sur les pages de mon premier Montreux by Castel Beer pour ne rien rater de cette quatrième édition.

Christian BUZANGU

ByThèrese

Bukavu : le casting du concours international Mon Premier Montreux se tient à Bukavu le 10 février 2024.

La date du casting du concours international Mon Premier Montreux est désormais connue. Il s’agit du 10 février 2024 à l’espace culturel Kwetu Art qui se situe à côté de l’institut de Bagira dans la commune portant son nom. Cet événement annuel permet de promouvoir les talents de l’humour locaux selon son organisateur Espoir BULANGALIRE.

Ce recteur de l’école régionale de l’humour précise que ce casting est un cadre d’expression et de visibilité des humoristes.

« Cette rencontre est une grande opportunité pour les humoristes de la province du Sud-Kivu, car elle offre une vitrine pour ceux qui seront sélectionnés non seulement pour lutter avec d’autres humoristes africains, mais aussi pour tenter de composter son ticket pour jouer la finale sur la prestigieuse scène du premier Montreux. » Les humoristes intéressés sont conviés à postuler en envoyant leur dossier sur WhatsApp au +243 97 059 33 51. À l’issue de ce concours, chaque candidat présente son sketch devant le public. Par la suite, les séquences vidéo vont être envoyées en scène et les images sont renvoyées par la suite à un jury en dehors du pays qui déterminera le nom du candidat sélectionné au casting. » Précise espoir BULANGALIRE.

À lui d’ajouter que les opportunités présentes dans le domaine de l’humour sont nombreuses. Seul le courage de chaque humoriste peut décider de sa carrière professionnelle au pays comme à l’étranger.

Classé deuxième à l’issue de la troisième édition de la finale du concours « Mon premier Montreux » tenu à l’institut français de Kinshasa, représentant la province du sud Kivu et la RDC en général, Jospin de MARS a réussi à se classer en ordre utile sur un total de huit candidats en lice pour la scène de Montreux Comédie, festival organisé en Suisse chaque année.

Christian BUZANGU